Atelier de sensibilisation sur les VBG le cas de la mutilation génitale féminine

Article de Mme Bassene et M Diagne Formateur au CFP

Animé par les Formateurs( trices) . Dr DIALLO and Mrs Fatou Sow

Durée : 2 jour le Samedi 13 et dimanche 14 Décembre 2025

Accueil : Club EVF et cellule genre du cfp Abene
Lieu : CFP /Abene

Thème : L’excision

Animé par la Doctoresse Madame Diallo et appuyez par notre partenaire Kakolum, des attestations ont été remises à la fin de la formation. LA CELLULE GENRE remercie humblement le directeur pour cette activité qui a permis aux élèves du cfp et de chaque filière de gagner en connaissance

Avec comme thème L’EXCISION, qui fait partie des mutilations génitales féminines (MGF). Il s’agit de l’ablation partielle ou totale des organes génitaux externes féminins, pratiquée pour des raisons culturelles, traditionnelles ou sociales, sans justification médicale.

L’Organisation mondiale de la santé distingue 4 types :

Type I (clitoridectomie) : ablation partielle ou totale du clitoris

Type II (excision) : ablation du clitoris et des petites lèvres

Type III (infibulation) : rétrécissement de l’orifice vaginal par suture

Type IV : autres pratiques traumatiques (piqûres, scarifications, cautérisations

Les MGF sont pratiqués principalement en Afrique, au Moyen-Orient et dans certaines régions d’Asie. Plus de 200 millions de femmes et de filles dans le monde en sont victimes (OMS).

L’excision est reconnue comme une violation des droits humains :

Atteinte à l’intégrité physique, une violence basée sur le genre, une violation des droits de l’enfant. Elle est interdite par la loi dans de nombreux pays, dont le Sénégal.

Prévention et lutte: une sensibilisation communautaire, l’éducation des filles et des familles

L’engagement des leaders religieux et traditionnels, le soutien aux victimes et l’application des lois.

L’excision n’a aucun bénéfice médical. C’est une pratique dangereuse, illégale et préjudiciable à la santé physique et mentale des filles et des femmes. Sa disparition passe par l’éducation, le dialogue culturel et le respect des droits humains.

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